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  • CE du mois de mai 2013 : l'élu CGT n'approuve pas le compte-rendu du précédent CE avril 2013

     

     

     

     

    Chaque réunion du CE est l'occasion de : 

     

    - relire, approuver ou non, le compte-rendu du précédent CE

    - réaliser l'ordre du jour, jusqu'aux questions diverses, qui devient à son tour le mois suivant un compte-rendu qui doit être approuvé ou non. 

    Or, chaque réunion commence par la lecture du compte-rendu de la précédente réunion, et, jusqu'ici, à chaque fois, l'élu CGT a demandé des modifications, notées par le secrétaire. Mais une fois l'examen de ce compte-rendu, des demandes de modifications notées, le texte n'est pas représenté le mois d'après. Il faut, fallait donc faire confiance.

    La section CGT a constaté que des demandes de modification n'étaient pas devenues effectives.

    Le compte-rendu du précédent CE, avril 2013, étant lui aussi insatisfaisant, l'élu CGT a été obligé de le désapprouver. Une majorité l'a approuvé. La majorité actuelle au CE n'est pas gênée par le fait que les 

    - discussions ne soient pas scrupuleusement notées (demande de la CGT rejetée)

    - les comptes-rendus ne soient pas fidèles aux propos et à leur sens

    Un élu, l'élu cadre, l'élu M. Denier, a même déclaré que les problématiques de classification et de paiement des heures travaillées des professeurs-formateurs ne le concernent pas du tout.

    Du coup, désormais : 

    - l'élu CGT se rendra à la réunion avec un document "Les Minutes du CE", sur lequel il prendra note des propos : heure, identité de l'intervenant, propos, autres intervenants. 

    - les PV seront publiés ici en privé (si vous êtes salarié(e) de l'association, il faut nous envoyer un mail pour nous demander à lire le compte-rendu et nous vous autoriserons. Le CE du mois d'avril 2013 est d'ores et déjà disponible ici

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    Si la situation est telle que nous la décrivons, c'est que la direction s'entête dans un état d'esprit dont on pouvait penser qu'il était en train d'être dépassé. Les prochaines négociations sur l'accord d'entreprise (si elles ont lieu) doivent permettre de fixer des principes généraux nouveaux concernant l'existence

  • Un rapport critique sur les pratiques RH au sein de l'AOCDTF

     

     

     

    Nous vous invitons à lire ce document original, rédigé par David Abonneau, doctorant de cette Université et de cette Université de Recherche :

  • Les 21 et 22 Juin 2013, les 75ème Assises de l'Association AOCDTF

     

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    C'est à "Deauville" (vous pouvez demander pourquoi) que les Compagnons membres de l'AOCDTF tiendront les Assises nationales, 75ème. Le programme est à découvrir ci-dessous. Dans ce programme de deux jours, vous ne trouverez pas une rencontre ou une expression de notre section syndicale. Lors de ces Assises, l'actuel premier Conseiller, M. Guisembert, passera la main à un nouvel élu. Nous en parlerons prochainement.

     

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  • 24 et 25 mai, certaines Maisons de l'AOCDTF accueilleront jeunes et parents

     

     

    C'est en anglais que l'appel, l'invitation, sont formulées ! 

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    Nous vous invitons à découvrir les maisons, les formations, l'encadrement.

    Voici le livret spécial jeunes apprentis de la CGT : 

  • Retraites : une négociation est nécessaire, pour faire entendre à Mme Touraine autre chose que...

     

     

     

     

    La Ministre des Affaires Sociales, Marisol Touraine, vient de répéter ce que nous entendons sur le sujet, depuis plusieurs semaines : 

    "La ministre des Affaires sociales et de la Santé Marisol Touraine confirme que dans le cadre de la réforme des retraites «un effort sera nécessaire, auquel devront participer tous les Français», dans un entretien au journal Le Figaro vendredi.

    «Des décisions seront prises d’ici la fin de l’année. Nous avons trois défis: le financement à court terme, la pérennité à long terme de notre système par répartition et des mesures de justice,» indique Marisol Touraine.

    «Si on parle de durée de cotisation, qui est le critère le plus juste, vu l’augmentation de la durée de vie, elle doit tenir compte des réalités des carrières. Un effort sera nécessaire, auquel devront participer tous les Français», affirme la ministre."

    La retraite, à savoir le temps libre rémunéré, après une longue vie à travailler, constitue une forme de rattrapage pour les travailleurs. Parce que certains auront passer leur vie à ne jamais travailler, rémunérés par les efforts des travailleurs : les plus fortunés ne travaillent pas, ou une partie de leurs familles ne travaillent pas, jamais. L'allongement de la durée de la vie en un siècle, l'augmentation de la durée de cotisation, la baisse de niveau des pensions, le recul de l'âge légal de départ, nous conduisent à une situation générale sidérante et absurde : une majorité aura, aurait passé sa vie à travailler, et, une fois à la retraite, pour ceux qui ont la chance d'atteindre l'âge légal de départ, l'espérance de vie en bonne santé aura été dépassée. Mme Touraine semble en effet ne pas savoir que si l'espérance de vie augmente, il y a déjà des écarts entre les ouvriers et les cadres, qui ont 7 ans d'espérance de vie de plus, et que l'espérance de vie en bonne santé n'est que de 59 ans pour les ouvriers ! Autrement dit, les ouvriers arrivent et vont arriver à l'âge légal (en train de reculer vers 62 ans) en étant certain d'être souffrants ou malades. Certains vont donc cumuler les désavantages : un travail plus dur, une espérance de vie plus courte, des salaires les plus bas, des pensions encore plus basses. Une vraie politique doit compenser, contredire les désavantages et non les confirmer. Car outre la pénibilité construite et subie pendant les années de travail, bien des travailleurs parviennent à leur retraite dans un état  physique dégradé, sans compter les risques élevés de maladies graves, cancers, cardiovasculaires. Donc, contrairement à ce qu'affirme Mme Touraine, on ne peut pas demander des efforts à TOUS les Français, parce que certains en fournissent beaucoup, pendant que d'autres en fournissent peu, voire pas du tout. Les Français ont raison de considérer qu'il faut revoir l'ensemble du système, mais cette refondation doit être faite sur des faits et des principes de justice. 

  • Le secrétaire général de la CGT s'adresse au Président de la République

     

     

     

     

    Monsieur le Président,
     
    Il n’est pas habituel que le Secrétaire général de la CGT écrive au Président de la République française. D’impérieuses raisons m’y conduisent. Il y a maintenant un an, les françaises et les français vous élisaient Président de la République. Ils affirmaient ainsi le besoin d’une rupture avec la politique économique et sociale menée précédemment. De ce besoin vous en avez fait votre slogan : « le changement c’est maintenant ». La CGT s’était clairement exprimée pour un changement de majorité dans l’intérêt des salariés. Or, nous sommes contraints de constater l’écart grandissant entre vos engagements et les actes. Le décalage est immense entre les attentes des salariés et les réponses politiques apportées. Pour les salariés, rien n’a changé positivement dans leur vie au travail et dans leurs conditions sociales. Mois après mois le chômage augmente, la précarité est le lot de plus en plus de salariés, les destructions d’emplois dans l’industrie, le commerce et les services font l’actualité. L’incertitude face à l’avenir et la faiblesse du pouvoir d’achat pèsent sur la consommation des ménages. Les jeunes, premières victimes de la crise,