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Une 2ème procédure de licenciement contre le délégué syndical CGT, en droit de retrait depuis 3 semaines, face à la violence comportementale et verbale d'un groupe d'apprentis

La direction AOCDTF s'entête dans sa volonté de faire disparaître de l'association le délégué syndical CGT. Car il faut bien dire qu'un licenciement, c'est la négation totale de l'existence d'un ou d'une salarié(e) dans une entreprise. La procédure s'accompagne, une 2ème fois, d'une mise à pied à titre conservatoire. Le salarié ne connaîtra le ou les motifs que la semaine prochaine. La CGT, informée, est déterminée à ne pas accepter cette nouvelle mise en cause dont les justifications sont probablement fantaistes ou exagérées.

D'autant que c'est ce salarié qui a été contraint, il y a presque un mois, à engager un droit de retrait face à la violence manifeste, de comportements et de propos, d'un groupe d'apprentis. La direction va devoir rendre des comptes sur sa gestion des problèmes rencontrés entre ce salarié, enseignant, et ce groupe, et sur le fait qu'elle a été silencieuse pendant des mois et des mois, malgré les alertes écrites de ce salarié. Est-ce que la direction des Compagnons du Devoir estime que, dans ses établissements, les apprentis auraient des droits spécifiques que les autres citoyens n'auraient pas ? Est-ce que les lois françaises s'appliquent de la même manière chez les Compagnons du Devoir que dans le reste du pays, ou dans l'association, il y aurait un "droit d'exception" ? Et si tel était le cas, qu'est-ce qui justifierait ce "droit d'exception" ? La CGT va s'exprimer et agir, et vous appellera à soutenir ce salarié et, au-delà, l'activité syndicale vivante dans cette association. 

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