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Comment un DRH peut, par narcissisme, idéologie anti-salariale et mépris, prendre en otage une association ?

Le métier de DRH (directeur des ressources humaines) est un métier qui a, aurait, sa déontologie. Mais si les médecins ont un serment, les DRH peuvent travailler sans respecter des règles. La déontologie est toujours en débat. Mais pour certains DRH, une "déontologie" serait un frein à leurs caprices, leurs pulsions, leurs sentiments personnels. 

Et il y a des directions qui laissent faire leur DRH, à leur guise. Mais en les laissant faire, ils engagent leurs entreprises, leurs associations, dans les infractions qu'ils commettent. Quel est le sens ? Quel est l'intérêt ? En attendant, ces dirigeants permettent à des individus de vivre leur logique personnelle sadique. Problème pour eux : cette violence, psychologique comme "juridique", n'est pas légale. Rien dans ses excès n'autorise un DRH à se laisser aller à exprimer ses opinions politiques, son mépris ou sa haine des organisations syndicales, à cumuler des choix contre les intérêts légitimes des salariés. Dès lors que les faits sont connus, le fait que des dirigeants laissent faire un DRH dans de tels comportements les rend complices de ces méfaits, des préjudices commis contre les salariés et les IRP.

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