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Nous avons connaissance de deux dossiers de licenciement, de salariées en arrêt maladie, dont la durée est réputée longue par la direction, afin de justifier ce licenciement ("désorganisation du service"). L'une des deux salariées a été une candidate CGT aux élections professionnelles. Elle a subi des mesures de mépris, de dénigrement, qui ont contribué à la dégradation de sa santé. Nous constatons et dénonçons des choix faciles. Nous nous demandons s'il en irait de même avec un arrêt maladie prolongé d'un des cadres dirigeants de l'association. Dans le second cas, la salariée était prête à reprendre son emploi quand on lui a signifié son licenciement. Lors de l'entretien, il lui aurait été expliqué que rien ne pouvait lui être reproché, mais le licenciement a été maintenu, malgré l'expression de sa volonté de reprise du travail. Elle était "accompagnée" par une déléguée du personnel CFDT dont elle attendait ces derniers jours le compte-rendu de cet entretien préalable. Cette déléguée lui aurait fait savoir qu'elle était disposée à rédiger ce compte-rendu dès lors qu'il serait lu et approuvé par le directeur de l'établissement. Nous devons rappeler à cette déléguée du personnel, comme à tous les autres, qu'une telle responsabilité, comme pour celle qui concerne les mandats syndicaux, suppose une réelle INDEPENDANCE des salariés concernés, et que cette indépendance passe par le fait de devoir s'exprimer SANS l'aval, l'avis, du directeur de l'établissement.
La CGT est donc aux côtés de ces salariées, comme de tous ceux qui entendent faire respecter leurs droits, si limités.
C'est une question que nous posons en lisant ceci, sur le site, sur cette page :
"
Selon ce que nous savons, Jean Bernard est l'un des fondateurs de l'Association, mais elle a été fondée par des Compagnons. Jean Bernard s'est profondément engagé dans la collaboration. Est-il possible de ne pas mentionner ce fait ? et de lui donner une évaluation ? Quant au fait d'indiquer que, suite à la sollicitation de Bernard à l'attention du chef de l'Etat du régime de Vichy, celui-ci a non seulement décidé de faire légalement considérer que le Compagnonnage et l'Association ne relevaient pas des "sociétés secrètes" qui, elles, étaient visées par ce régime, mais que, en outre, il a aussi décidé de soutenir l'Association, par un statut et des financements, s'agit-il de quelque chose qu'il faille mentionner de cette manière-là, comme s'il s'agissait de s'en féliciter ? Il faut rappeler que la France était alors dirigée par des traîtres, lesquels ont été jugés pour cela, et condamnés, comme le Maréchal Pétain, condamné à mort, avant d'être gracié et maintenu en prison jusqu'à la fin de ses jours. Pourquoi parler de tels hommes comme des traîtres ? Parce que le projet du Nazisme était, et c'était son premier objectif, de "détruire la France". Passée la période de la "collaboration", une victoire du Nazisme aurait conduit ses dirigeants à envoyer les Français vers les camps d'extermination. Celles et ceux qui se sont donc battus contre cette machine de destruction nous ont sauvés, en sauvant la France.
Nous avons déjà publié plusieurs notes sur ces sujets historiques (Bernard et la collaboration), et nous continuerons de le faire, parce que les choix de M. Bernard et de ses amis n'ont engagé qu'eux, et non l'ensemble des Compagnons. Nous continuons de constater, de nous étonner et d'interroger sur, les constats rappels par l'Association de sa fondation par M. Jean Bernard.
Les dates et horaires d'ouverture des Journées Portes Ouvertes sont disponibles sur cette page : http://www.compagnons-du-devoir.com/journees-portes-ouvertes
Ces lieux, dates et heures, sont :
Dates & horaires des Portes Ouvertes :
Albi Du 30 au 31 janvier, de 9h à 17h
Adresse : 2-4-6, rue du Maréchal Lyautey 81000 Albi
Nous publions ce texte, parce qu'il s'agit d'un propos public qui doit être connu, parce que les termes nous paraissent justes, parce que l'appel à la retenue et à la réflexion à l'attention des jeunes nous paraît essentiel, parce qu'il constitue aussi une réponse à des problèmes structurels de racisme qui affectent une partie de cette jeunesse.
"A tous,
Nous venons de vivre en France un acte effroyable de terrorisme et d’atteinte à la liberté d’expression. Au travers de cet acte, c’est forcément chacun d’entre nous qui est attaqué. Les Compagnons du Devoir condamnent avec la plus grande fermeté ce qui vient de se passer. Etre Compagnon, c’est être un Homme libre ! Etre Compagnon, c’est être fraternel ! Etre Compagnon c’est toujours chercher à devenir meilleur et faire grandir l’autre ! Etre Compagnon, c’est être un Homme digne ! Etre Compagnon, c’est être généreux ! Autant de valeurs que nous portons au quotidien et qui aujourd’hui ont été ébranlées. Nous souhaitons vous dire qu’il ne faut pas avoir peur car ce que recherchent ces « monstres » qui viennent de frapper, c’est justement de semer la terreur. Nous voulons vous faire passer un message de tolérance et d’ouverture ! Ne cédez pas à des sentiments de rejet d’une religion, l’Islam qui n’a rien à voir avec ces actes odieux, ne vous laissez pas aller à assimiler la communauté musulmane à ces barbares. Plus que jamais cultivons nos vertus et développons la culture, c’est la seule manière de repousser toute forme de fondamentalisme. Pour terminer, nous vous invitons, par solidarité avec ceux qui ont été touchés au plus profond d’eux même, en mémoire de ceux qui ont payé de leur vie, à respecter une minute de silence.
Merci .
Le Conseil du Compagnonnage.
Bertrand Nauleau
Premier Conseiller"
C'est toujours le même problème avec les voeux : ils sont généraux et généreux, puisqu'ils ne coûtent rien. La CGT n'est pas une organisation avec des velléités : nous sommes une organisation fondée sur des volontés. La situation des salariés dans l'association AOCDTF est, à l'exception de l'encadrement, mauvaise ou très mauvaise. Nous en parlons depuis des mois, nous en parlerons cette semaine avec de nouvelles publications. Les causes en sont connues : une attitude de la direction parisienne qui refuse un réel dialogue avec notre organisation syndicale, qui refuse de respecter des principes salariaux ambitieux (sauf pour l'encadrement). La récente évolution de "l'accord d'entreprise" en est un symbole, avec la réaffirmation du CDII comme d'une "prime de fidélité" dont le principe de calcul est scandaleux. Mais comment s'étonner de cela quand, dans le même temps, sur la page Facebook officielle de l'association, les salariés ont eu droit à des voeux pour les fêtes avec une photographie (cf ci-dessous) tirée du film "Gatsby le Magnifique", lequel narre la vie d'un milliardaire ? Nous sommes curieux de connaître l'explication quant au rapport entre ce type d'individus et le Compagnonnage. Nous voulons bien supposer qu'il s'agit d'un choix maladroit - puisque, sinon, il s'agirait ou d'une provocation ou d'une déviance d'un Compagnonnage pour le culte envers la plus extrême richesse, totalement contraire à l'Histoire du Compagnonnage. De nombreuses notes vont être publiées d'ici la fin de la semaine et dans ce mois, concernant l'actualité, les sujets, les problèmes des salariés dans l'association, notamment concernant des procédures de licenciement qui frappent deux salariées de l'association, alors qu'elles sont en arrêt maladie. Il s'agit en effet d'un droit des employeurs (méconnu, et qui prouve que le droit du travail est très favorable aux employeurs, contrairement aux mensonges colportés sur ce sujet par le MEDEF). Mais même s'il s'agit d'un droit, doivent-ils l'utiliser quand ils peuvent faire autrement ? Nous allons le dire dans une note spécialement consacrée à ce sujet : nous demandons que ces procédures soient annulées, puisque l'association peut faire autrement (dans la mesure où elle n'a rien à reprocher à ces salariées, mais qu'elle met en avant "la désorganisation du service", ce qui peut être corrigé par une autre organisation ponctuelle ou une embauche en CDD).
Depuis des mois, nous entendons parler de massacres de civils, en Irak, Syrie, en Afghanistan, au Pakistan, et ailleurs. De prétendus "combattants" ont "codé" leur expression, physique, collective, en asservissant une référence collective mondiale, l'Islam, des symboles, appuyés par des "docteurs de la foi" qui prétendent justifier leurs croyances et leurs crimes. Ils avaient promis d'exporter en France leur activité criminelle, ils l'ont fait. Nous avons entendu des représentants publics qu'ils avaient décidé de lutter contre ces terroristes, "quel que soit le prix à payer". Désormais, nous avons des morts, qui s'ajoutent à toutes les autres victimes de ces mêmes tueurs, dont le crime est la religion. Nous demandons que notre pays, enfin, organise des débats collectifs ouverts afin que les meilleurs moyens pour s'opposer à ces assassins soient déterminés et mis en oeuvre, étant donné que nous pensons que les seuls moyens de sécurité ne suffisent pas et peuvent même être contre-productifs. Les racines de cette folie sont dans les têtes. Sans le soutien des justifications cléricales, les auteurs de ces crimes apparaîtraient tels qu'ils sont : des assoiffés de sang. Ce n'est donc pas une seule mesure qui peut suffire, mais un ensemble, et toute une partie de ces mesures relève de l'action culturelle, de l'action intellectuelle, de l'action éducative. Nous nous réjouissons d'avoir vu que tant de citoyens expriment clairement leur refus des amalgames, puisqu'il est juste de ne pas mélanger dans des récriminations des coupables et des innocents. Enfin, étant donné la liste des méfaits, des catastrophes, provoqués par les guerres, en Afghanistan, en Irak, en Syrie, en Lybie, nous souhaitons que les décisions qui ont présidé à leur organisation, que l'ensemble de leurs conséquences, fassent l'objet d'un bilan raisonné, et que les erreurs commises soient reconnues pour qu'elles ne soient pas continuées et répétées.
"Ce rapport est l'oeuvre de cet Observatoire. La France des "Droits", de "l'Homme", de "l'engagement syndical" est un pays dans lequel le "Droit" est censé établir des fondamentaux universaux, largement virtuels, faute d'encadrements contraignants, de moyens, faute de différencier les droits et les pouvoirs en fonction des moyens des personnes et des groupes, au nom d'une "égalité" qui devient alors l'arme des inégalités. Le droit syndical est en France, constitutionnalisé - mais depuis quand ? La protection de l'environnement l'est aussi devenu, et nous savons comment les choses se passent en France. Nous sommes dans le pays des "grands mots", de l'emphase et de la pompe. Mais la réalité, elle, (...)".
A lire sur le blog du SNCA-CGT
Pierre Joxe : « La gauche n’a pas été élue pour... by Mediapart
Notre organisation syndicale a saisi le Tribunal d'Instance du 75004 Paris, afin de faire constater que la procédure légale pour la mise en place du CHSCT AOCDTF, à savoir notamment pour la réunion du collège désignatif (composé des élus CE et des élus DP), n'avait pas été respectée, puisque la dite réunion n'a pas eu lieu. La direction a répondu, soutenu là encore par le SPEP-CFDT, par la CGC, mais aussi par la CFTC, que notre procédure n'était pas juridiquement acceptable, parce que nous étions représentés par une défenseur syndical, et parce que, malgré une saisine dans les 15 jours après l'élection, un PV du bureau du SNCA-CGT avait été effectué, postérieurement à cette période. La Juge du TI a repris entièrement à son compte cette argumentation, et, du coup, a totalement ignoré les éléments que nous avons présenté. De son côté, intérrogée, l'Inspection du Travail nous a répondu que le fait de ne pas réunir le collège désignatif est une violation de la loi, et que, dans ce cas, le CHSCT est fondé sur une illégalité, illégalité "validée" par le TI. Mais même si le TI a donné raison à la direction quant à son argumentation, la direction pourrait constater que le CHSCT mis en place ne l'a pas été légalement, et faire ce qu'elle doit. Si elle ne le fait pas, c'est donc qu'elle estime que lorsqu'une décision de justice valide son argumentation, réduite à la procédure, elle n'a que faire de l'absence du respect de la légalité.
L'association, la direction de l'association, prétendent représenter le "Compagnonnage". Mais dès qu'il s'agit de Droit du Travail et de rémunérations des salariés, les valeurs, l'Histoire, les combats des Compagnons des siècles passés vont aux oubliettes. Nous ne pouvons laisser faire et permettre ce grand écart entre les "valeurs" et les faits. C'est pourquoi la CGT va engager de nombreuses initiatives en 2015 pour faire cesser cette situation scandaleuse.
Notre organisation a fait une proposition novatrice pour que la prime de fidélité de fin d'année devienne enfin équitable. La proposition a été balayée d'un revers de main par la direction. Elle a validé, avec le soutien du représentant du SPEP-CFDT, M. Duboy, et de la CGC, M. Denier, le système actuel, avec une cerise sur le gâteau : une augmentation de 1% pour la dernière tranche, les plus de 16 ans. Or, selon nos informations, deux des cadres dirigeants qui ont suivi, voulu et validé cet accord, seront concernés par l'application de cette nouvelle mouture. Etant donné qu'ils perçoivent parmi les plus hauts salaires, cette "petite augmentation" de "1%" va être pour eux conséquente.
Etant donné que notre organisation syndicale est, en permanence, sous-informée, ou pas informée du tout, par la direction de l'AOCDTF, sur tel ou tel aspect du fonctionnement de l'association, des décisions de la direction, nous ne pouvons encore le dire avec certitude, mais, selon ce que nous savons, et ce que nous savons de manière indirecte, les diktats de la direction, proposées/imposées lors de la réunion de septembre 2014, et validées par le SPEP-CFDT, par la CGC, vont provoquer des régressions importantes, l'aggravation des injustices. Le Compagnonnage, ses valeurs, sont totalement bafoués par ces textes supplémentaires. La direction de l'AOCDTF fonctionne dans le mépris à l'égard des salariés et des vraies organisations syndicales.
- dans ce texte, la direction prétend confirmer la légitimité de l'usage du CDII. Mais même si elle a obtenu la signature du représentant du SPEP-CFDT, M. Pascal Duboy, et de la CGC, M. Stéphane Denier (et de quel droit sur ce sujet ? puisque les cadres ne sont pas concernés par le CDII), le CDII n'est pas un contrat légal pour l'association, ni un contrat légal dans l'usage qu'elle en fait pour ses conséquences. La CGT va mettre tous les moyens pour que, dès que possible, cet usage soit abandonné.
- dans ce texte, et contrairement à une mauvaise interprétation de notre part, la direction a obtenu la suppression de... la suppression des jours légaux de carence, en cas d'arrêt-maladie. Désormais, cette suppression sera limitée à... une fois par an. Ce système, des jours de carence, est profondément injuste, puisque la moyenne des arrêts maladie est d'une semaine. Et pour les enseignants/formateurs qui sont à temps partiel, cette suppression va conduire à ce que, lorsqu'ils seront malades, les quelques heures qu'ils auraient effectué s'ils n'avaient pas été malades ne leur seront plus payées. Les salaires de ces enseignants/formateurs, qui sont déjà les plus bas, si tant est qu'ils soient payés aux minima conventionnels, subiront encore des baisses. Pour le SPEP-CFDT et pour la CGC, aucun problème !
- quant à la prime de fidélité, nous en parlerons par une note spécifique.
Désormais, vous pouvez joindre ce secteur CFA et notamment la section CGT au sein de l'AOCDTF en composant le 0764078953 et en laissant votre message sur le répondeur. Nous vous invitons à noter ce numéro et à le communiquer à tous vos collègues concernés par des problèmes salariaux. Si vous voulez écrire par mail à la section, nous vous rappelons l'adresse : snpefpcgtcfa arobase gmail point com
Il y a plusieurs mois, nous avons publié des notes et des documents concernant l'action, les choix, les comportements, les valeurs, de Jean Bernard, pendant l'Occupation. Nous voulons signaler à ceux qui viennent sur ce blog à cet effet que le travail historique le concernant et concernant certains de ceux qui se sont associés à lui pendant cette période continue, et que des révélations seront diffusées ici.