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CGT - Page 6

  • A Lamothe-Landerron, le CFA attend : son panneau le long de la 113, son projet (pour la prochaine rentrée et les années à venir), ses moyens

  • Elections professionnelles 2014 AOCDTF, vous pouvez être candidat(e) avec nous

     

     

     

    Vous êtes salarié(e) de l'Association. Vous considérez que le respect de vos droits en tant que travailleuse, travailleur, en raison de, la qualité de votre travail, votre qualification, votre expérience professionnelle, vos diplômes, est fondamental, et, pour cela, doit devenir une réalité tangible et durable dans votre vie professionnelle au sein de l'Association. Vous n'êtes pas syndiqué(e) à la CGT, mais vous considérez que la plus ancienne organisation syndicale et la plus représentative reste fidèle à son Histoire, aux luttes, aux conquêtes, aux finalités du monde du travail. Vous pouvez nous écrire pour être candidate, candidat avec nous, sur nos listes, pour le Comité d'Entreprise, pour les Délégués du Personnel. Vous pouvez être candidate, candidat avec nous, sans être syndiquée, même si nous vous y invitons ! 

    Pour cela, vous pouvez écrire à snpefpcgtcfa arobase gmail point com

     

     

  • Elections professionnelles 2014 au sein de l'AOCDTF : un processus à priori en danger (non neutralité de la direction, risque d'irrégularités)

     

     

     

     

    Mercredi dernier, au siège social, la délégation CGT a été obligée de signer le protocole d'accord préélectoral, élaboré avec les autres organisations syndicales et avec la direction. En effet, à la fin du travail matinal, la délégation CGT a envisagé de ne pas signer le protocole élaboré depuis le matin, en raison de ses insuffisances, graves, de tous les refus de la direction sur des éléments majeurs. La direction, représentée par M. le DRH, a alors affirmé que dans ce cas, il appliquerait "seulement le Code du Travail", ce qui dans ce cas conduirait selon lui à des élections partielles, étant donné la régionalisation de l'AOCDTF et son impact sur les effectifs. 

    Le document est disponible pour les salarié(es), qui nous en feraient la demande par mail à snpefpcgtcfa arobase gmail point com. 

    Ce chantage à la signature a donc conduit à l'adoption d'un protocole d'accord préélectoral, partiel et mauvais. Les élections vont se produire dans une situation générale où, à l'occasion de la négociation sur l'accord d'entreprise du mardi 25, le DRH de l'Association, M. Patrick Gillet, s'en est pris expressément à la CGT et à son délégué syndical, en mettant en cause notre expression publique, une nouvelle fois. La discrimination syndicale concernant la CGT nous paraît désormais établie par ce "communiqué" du mardi qui détruit la neutralité requise et nécessaire de la direction lors de ces élections. 

    La direction a, pour l'instant, refusé :

    - des supports spécifiques pour l'affichage électoral sur les sites;

    - la création d'un site Internet spécifique pour ces élections, notamment pour permettre aux salarié(e)s qui le souhaitent de communiquer leur adresse mail;

    - un document initial qui informe les salariés de la tenue de ces élections;

    - une gestion cohérente et rigoureuse des courriers renvoyés par la Poste en raison d'un problème sur l'adresse

    - des moyens financiers spécifiques;

    - l'encadrement clair et rigoureux de tout le processus électoral, de l'envoi des courriers au dépouillement 

  • Du Compagnonnage au Syndicalisme et réciproquement - un dialogue constructif ?

  • La conférence de presse de rentrée de Thierry Le Paon, secrétaire général de la CGT

  • Les voeux de la CGT AOCDTF pour tous les salariés - passons des voeux aux volontés

     

     

     

    Tous les salariés le savent : la CGT n'est pas une organisation syndicale dans laquelle "la tradition des voeux" est importante, parce que la culture historique des problèmes, des luttes, des victoires des salariés nous fait distinguer nettement les "bonnes intentions", les "velléités", et les réelles volontés. L'année 2013 a été une année dans la continuité des années précédentes : au mieux une stagnation pour la majorité des salariés (mais pas pour les cadres supérieurs ou les dirigeants ou les actionnaires dont les revenus ont encore augmenté), ou une régression, avec un "cocktail" de la perte de revenus, par l'addition de : la stagnation des salaires, les impôts, les hausses de TVA depuis quelques jours, et une majorité politique qui face à de tels problèmes ne traite pas les sujets importants. Aussi, plutôt que de vous parler de "voeux", la CGT préfère vous parler de ses décisions et de ses volontés. Nous sommes déterminés à nous mobiliser, de toutes les manières possibles, pour, dans un rapport de force inévitable, peser face et contre un patronat de rapaces qui n'en ont jamais assez, de revenus, de rentes, d'avoirs, d'actifs, de biens, qui n'a pas besoin de retraites mais qui ose s'attaquer à nos revenus post-salariaux. "La crise" est largement une supercherie, une escroquerie. Il suffit de regarder autour de soi. Il y a ceux et celles qui subissent des difficultés qui s'accumulent, et les autres qui rient et plaisantent, parce qu'ils n'ont aucune difficulté. Le gouvernement, pour l'heure, n'est pas au soutien de celles et ceux qui forment la majorité et qui sont en difficulté. Il nous appartient, travailleurs, et organisations syndicales, de nous faire entendre, de trouver de nouvelles stratégies pour nous faire entendre et pour peser. C'est ce que la CGT de l'AOCDTF fera toute cette année.

  • M. Daniel Vatant, conseiller de M. Sapin, a reçu notre demande de réalisation de la médiation pour le début de 2014

     

     

     

     

    M. Daniel Vatant, conseiller de M. Michel Sapin au Ministère du Travail pour la Formation Professionnelle et l'Apprentissage, a reçu notre courrier par lequel la CGT a réitéré notre demande de réalisation de la médiation entre nous et la direction de l'AOCDTF pour début 2014. Nous vous ferons connaître la réponse et l'action du Ministère du Travail face à cette situation.

  • Le salaire de décembre 2013 doit être versé en début de semaine prochain

     

     

     

    Lors du CE, ce fut le souhait et la demande de M. Bellanger, pour continuer dans l'habitude prise par l'association, et étant donné que 15 jours de vacances commence à la fin de la semaine.

  • L'éditorial de Bertrand Nauleau, premier conseiller - une volonté de rassemblement et de renouvellement ?

     

     

     

    Cet éditorial provient du dernier numéro du journal, "Compagnon du Devoir".  De la part du premier conseiller, nous saluons un discours public nouveau. Nous vous invitons à en prendre connaissance et à vous faire votre avis. La section publiera son analyse dans le cours de la semaine prochaine.

     

  • Un accord d'entreprise : oui, mais une négociation à partir de mars 2014, pour un contenu pas encore déterminé, etc

     

     

     

     

    La réunion du mercredi 20 Novembre 2013 au siège de l'association à Paris a permis de fixer un premier calendrier. Une première réunion de négociation interviendra fin mars. Pour le périmètre de la négociation, c'est-à-dire la liste des thèmes, il faut encore attendre un mois avant de connaître ce que la direction de l'AOCDTF accepte - ou non, de négocier. Il s'agit là de ce que le délégué syndical a pu noter - puisque, hélas, aucun moyen d'enregistrement des échanges n'a été utilisé, et aucun PV contresigné et remis aux organisations syndicales n'a été élaboré. Il s'agit là d'une habitude que la CGT conteste constamment. 

     

     

     

     

  • Nous remercions et félicitons les Compagnons qui nous écrivent

     

     

     

     

    Suite à nos récentes publications (Histoire du Compagnonnage, de l'AOCDTF, appel à un rapprochement entre syndicalisme et compagnonnage), nous tenons à remercier et à féliciter les Compagnons, d'où qu'ils soient, qui nous ont écrit. Nous parlerons prochainement de ces échanges qui commencent, des perspectives qui s'annoncent.

  • C'est officiel : le SNCA-CGT est le syndicat pour les CFA et pour la section CGT AOCDTF

  • Agricol Perdiguier, "Comment Constituer la République", un texte que nous commenterons prochainement

  • Nous soutenons les travailleurs de l'Inspection du Travail face au projet patronal

     

     

     

     

    Pour son domaine d'action, de surveillance, de contrôle, l'Inspection du Travail est le corps de l'Etat qui a été le plus affaibli ces 20 dernières années. Entre les inspecteurs, inspectrices, contrôleurs, contrôleuses, ce sont à peine plus de 2000 personnes qui doivent travailler sur l'ensemble de la France. Eu égard au nombre d'entreprises, de salariés, le ratio est l'un des plus faibles du monde, à peine au-dessus du Bangladesh. Les droits de l'Inspection ont été considérablement réduits. Comparés à d'autres pays, qui ne sont pas l'URSS, ils ne peuvent même pas mettre à l'amende immédiatement un dirigeant, des dirigeants, en faute. Le travail de sape de l'Inspection du Travail a consisté à placer ceux-ci dans une situation de quasi immunité - et ils en réclament toujours plus. Le monde du travail serait celui qui échappe au Droit, aux droits et devoirs, avec des sanctions à la clé. Le plan Sapin a été rejeté par tous les salariés et tous les syndicats de l'Inspection, qui sont mobilisés contre lui. Résultat : le gouvernement s'entête à vouloir en faire la réalité de l'Inspection demain. Nous interpellons les salariés et les élus sur ce plan néfaste, qui doit être contredit. Il faut soutenir les travailleurs de l'Inspection du Travail. Nous vous invitons à écrire aux DIRECCTE pour faire connaître à ces agents votre soutien.

    Il faut, au contraire, augmenter le nombre d'intervenants, leur donner des moyens supplémentaires, des droits nouveaux. Beaucoup trop de dirigeants d'entreprise se vivent, se pensent, et se veulent au-dessus des lois. La délinquance patronale existe, et elle est souvent minimisée, protégée. Il ne peut pas y voir deux poids, deux mesures, contre la déliquance : quelle qu'elle soit, elle doit être sanctionnée. Les petits délinquants sont des enfants de coeur à côté de certains dirigeants d'entreprise, d'équipes de direction. 

  • L'UIMM : le corrupteur n'a aucune crédibilité, à la différence de l'enquête

     

     

    Ces dernière semaines, s'est tenue à Paris un procès important : celui de quelques dirigeants de l'UIMM, mis en cause pour une "caisse noire" et son usage. L'enquête a établi que pendant 7 ans, de 2000 à 2007 (mais quid de ce qui s'est passé avant, depuis la création d'une structure spécifique, en 1972), plusieurs millions d'euros (16 au moins) ont été sortis en liquide, et répartis entre... entre... -entre qui ? Le principal mis en cause, M. Denis Gautier-Sauvagnac a utilisé des formules "mondaines" pour expliquer la raison de ces sommes en liquide, la "fluidification du dialogue social". La pieuvre italienne peut apprendre de cette rhétorique patronale, pour justifier ses propres actions de corruption. Le principal mis en cause, M. Gautier-Sauvagnac, s'est refusé obstinément pendant l'enquête et le procès à donner le moindre nom, mais a tenu lors de ce procès, comme ses avocats, à mettre tout le monde dans le même panier, c'est-à-dire LES syndicats. Or l'enquête a établi que ce sont DES syndicats et non LES qui auraient perçu des fonds importants pour les rendre enclin à soutenir des projets patronaux - mais pas la CGT. La presse de masse a copié/collé les propos du corrupteur/accusateur pour titrer, comme ici : "L'UIMM a bien versé de l'argent aux syndicats". Or tant l'enquête que les aveux d'un serviteur du MEDEF, M. Bernard Giroux, lequel déclare ici : "Ensuite, depuis la Seconde Guerre mondiale et la guerre froide, il y avait, au patronat, un militantisme anticommuniste très important. Depuis cette époque, l’UIMM était formatée pour financer tous ceux qui pouvaient contrer l’influence du communisme et ça s’est développé dans les années 1970 avec François Ceyrac [NDLR : patron du CNPF de 1972 à 1981]. Cela paraissait normal à l’époque. L’UIMM a servi à tout le monde, sauf au Parti communiste, jusqu’en 1981", qu'elle était une "officine en charge des financements d’opérations pour contrer l’influence de la CGT et du PCF". Par contre, il tente de faire croire que après cette période, la CGT (comme le PCF) aurait été approchée et aurait succombé aux Sirènes patronales, mais comment explique t-il les positions constantes et fermes de la CGT qui a refusé toutes les régressions économiques et sociales depuis trente ans, sur les retraites comme sur le droit du travail (comme le prouve la position de la CGT lors de l'ANI 2013) ? Certains syndicats ont-ils reçu une partie de cet argent ? C'est possible, et l'enquête a établi des versements à CERTAINS syndicats mais pas à la CGT. Par contre, cette caisse noire anti-grève a certainement servi à supporter des entreprises confrontées à des grèves importantes. Ce que les syndicats ne font pas (avoir une caisse de grève pour permettre aux salariés d'affronter une période aussi difficile), le patronat l'a fait, et depuis longtemps. Elle a aussi servi à soutenir des élus, des responsables politiques, favorables à ce patronat. La CGT n'est pas à vendre, la CGT n'est pas disponible pour être achetée, vendue. Nous dénonçons les amalgames qui tendent à mettre dans le même sac les innocents et les coupables. Nous dénonçons une volonté de salir et d'affaiblir le syndicalisme, alors que ce sont les coupables qui se permettent de vouloir diminuer leurs fautes en mêlant tout le monde à leurs actions interdites. L'enquête n'a sans doute pas été à la hauteur des enjeux, mais les moyens de la police et de la justice sont-ils suffisants pour cela ? Voici le communiqué de la CGT sur le sujet : 



    Le procès de plusieurs dirigeants de l’UIMM (ils sont 10 plus 5 témoins assistés) ainsi que la fédération patronale fait la une de l’actualité depuis plusieurs jours.

    Alors que ce sont les dirigeants patronaux qui ont été envoyés en correctionnel suite à une instruction menée par le juge Roger Le Loir, on assiste à une opération visant à transférer le problème vers les organisations syndicales de salariés, et étudiantes dans une moindre mesure. Celle-ci est relayée dans les médias audiovisuels, dans une partie de la presse, etc. Cette campagne médiatique interpelle et peut perturber les salariés. Il faut donc rétablir les faits.

    (Lire le communiqué de la CGT)

    Les articles et documents publiés par la presse mettent en lumière de nombreuses pratiques financières très souvent illégales, organisées et orchestrées par l’UIMM et dont les premiers bénéficiaires sont les anciens dirigeants de l’UIMM eux-mêmes.

    Primes occultes, frais de représentation et travail dissimulé

    Il est rapporté, selon des sources judiciaires (l’ordonnance de renvoi en correctionnel) que tous ces dirigeants de l’UIMM, en plus de salaires très importants, s’octroyaient des primes en espèces chaque année pouvant atteindre 27 000 euros. D’autres versements en chèques sont évoqués avec des montants plus importants dépassant pour certains les 100 000 euros. A cela s’ajoutaient des frais de représentation et bien d’autres choses.

    L’UIMM aurait, quant à elle, pratiqué le travail dissimulé et des opérations financières douteuses en interne. Dans ces conditions, il est de bonne guerre que messieurs Denis Gautier Sauvagnac, délégué général puis président de l’UIMM et son compère Dominique Dominique De la Lande de Calan, délégué général adjoint tentent de détourner les projecteurs vers d’autres questions et problématiques que leur propre responsabilité.

    Une caisse anti-grève de 600 millions d’euros

    Quelques rares médias évoquent une caisse anti-grève de 600 millions d’euros qui servait, comme son nom l’indique, à aider les directions d’entreprise lors de conflits du travail. Cet argent permettait de rembourser les journées de travail « perdues ». Ces faits seraient confirmés par des DRH de grandes entreprises comme PSA par exemple à propos du conflit d’Aulnay en 2007. D’ailleurs, les dirigeants de l’UIMM ne s’expriment jamais là dessus.

    L’enquête ne révèle aucun versement à une structure de la CGT

    La cellule du Tracfin (Traitement et Actions Courtes contre les Circuits Financiers Clandestins), un service dépendant du ministère de l’Economie et des Finances, a mis en évidence cette financiarisation opaque. Elle évoque également des flux financiers entre l’UIMM et les syndicats de salariés mais aussi étudiants.

    Dans son enquête, le Tracfin a perquisitionné les locaux de l’UIMM et de tous les différents syndicats, fédérations voire confédérations, hormis ceux de la fédération CGT et de la confédération CGT. 
    Dans la période concernée, soit 2000 à 2007, l’instruction a constaté qu’il n’y a pas eu de versement supérieur à 500€ (cette somme étant le minima des montants vérifiés) de la part de l’UIMM à ces organisations de la CGT,. C’est la raison pour laquelle la fédération CGT de la métallurgie comme la confédération CGT n’ont pas suscité d’intérêts aux yeux de cette cellule policière. 
    Toutes les autres organisations syndicales ont, semble t-il et selon l’enquête, reçu des versements. Ces affirmations ont été démenties par les syndicats. Ainsi, officiellement, la FGMM CFDT a publié un communiqué indiquant qu’elle avait reçu la somme de 21 626,13 euros de 2002 à 2006, correspondant à des remboursements de frais de participation à des réunions paritaires. 
    Pour sa part, en revanche la FTM CGT fait savoir que ces remboursements lui ont toujours été refusés jusqu’à il y a 3 ans. « Il a fallu attendre l’année 2010 avec la négociation et la signature d’un accord sur l’exercice du droit syndical pour que nous puissions percevoir ces remboursements. Ils sont limités dans l’accord à 20 000 euros par an, sur présentation de factures ou titres de transport bien évidemment », précise la CGT Métallurgie.

    Des financements politiques

    Des médias évoquent des liens et des financements politiques comme le RPR du temps de Jacques Chirac. Il faut dire que Dominique De la Lande de Calan est un proche d’Alain Madelin et a été élu régional RPR en Bretagne.

    La CGT Métallurgie entend faire respecter sa probité

    L’avocat de M Gautier-Sauvagnac, a indiqué sur les ondes de France Inter le 15 octobre 2013, que son client ne livrera pas de noms sur cette affaire, qu’il convient pour la sérénité nationale de la profession, de ne pas aller vers un "grand déballage"et qu’il ne souhaite pas trahir des gens avec qui il a noué des bonnes relations.

    Au contraire, "la FTM-CGT souhaite que la justice détermine avec précision les montants exacts et les bénéficiaires de ce financement illégal, et bien sûr, qu’elle sanctionne sévèrement ceux qui ont commis ces infractions à la loi.

    La lumière doit également être faite sur les 600M€ de l’UIMM ponctionnés dans les entreprises et qui auraient servi de caisse anti-grève pour le patronat. Il faut que la justice détermine les entreprises bénéficiaires, ainsi que les montants octroyés.

     

    Au regard de cette affaire scandaleuse, tant pour le milieu patronal que syndical, la FTM-CGT entend faire valoir ses droits et elle fera respecter sa probité dans ce dossier. 
    Nous prendrons toutes les mesures nécessaires et possibles, y compris juridiques, pour y parvenir."