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La croissance du nombre d'adhésions à la section est constante, importante. Nous remercions les collègues et camarades qui ont rejoint la section, et celles et ceux qui ont décidé de le faire ces derniers jours. Etant donné que cette section constitue désormais une force significative, nous allons demander à la direction de l'AOCDTF l'application des droits concernant le fonctionnement de la section et l'attribution de moyens.
Vous avez reçu, vous allez recevoir, vous devez recevoir (et si vous ou l'un, l'une, de vos collègues ne recevait pas ce matériel de vote, nous vous remercions de nous le signaler par mail), un courrier de l'AOCDTF concernant les élections professionnelles. Deux listes nationales CE vous sont présentées et proposées (SNPEFP CGT et SNEPL CFTC); et selon votre région, l'un ou l'autre de vos syndicats vous présente un ou deux candidats, titulaires, suppléants pour les délégués du personnel.
Le texte qui vous est adressé par la direction indique que pour voter vous devez insérer un bulletin de vote couleur-élection (Verte = titulaires CE, Saumon=suppléants CE; Bleue=Titulaires DP; Rose=Titulaires DP). Toutefois, ce texte omet d'indiquer que les enveloppes postales que vous allez retourner doivent être IMPERATIVEMENT, au VERSO, SIGNEES.
La profession de foi du SNPEFP-CGT vous rappelle que pour assurer l'anonymat du vote, ces enveloppes postales vont être stockées par la Poste jusqu'au 18 mai; date à laquelle vos délégués syndicaux accompagnés d'une représentante de la DRH, iront chercher vos enveloppes pour les placer, une fois revenus au siège social de l'Association, dans des urnes. Le fait que vos enveloppes soient signées est nécessaire pour émarger la liste des électeurs et des électrices, comme lors de toutes les élections politiques nationales. Mais ce sont seulement les enveloppes qui contiennent vos votes qui sont placées dans les urnes, mélangées les unes avec les autres, et ces enveloppes sont anonymes. Il est donc impossible de savoir ce que vous avez glissé dans ces enveloppes.
Nous vous rappelons que le 12 mai, notre syndicat publiera sur ce blog une lettre qui complètera les textes publiés sur ce blog et la profession de foi, ainsi que le document de synthèse NAO (sur les salaires et le temps de travail).
Dans les régions, d'Aquitaine, de Midi-Pyrénées, Pays de Loire, Alsace, le SNPEFP-CGT propose des candidats pour l'élection des Délégués du Personnel. Vous trouvez ici des fichiers au format PDF pour ces régions, à diffuser, avec les coordonnées des candidats.
Pour les autres régions pour lesquelles il n'y a pas de candidat pour cette élection des Délégués du Personnel, mais pour le Comité d'Entreprise, vous trouvez un tract national, à diffuser également.
Les tracts ne peuvent être diffusés dans l'enceinte des établissements, mais à l'extérieur seulement.
Pour les régions où notre syndicat ne présente pas de candidat, nous cherchons des collègues correspondants.
TRACTREGIONALMIDIPYRENEESPOURBLOG.pdf
TRACTREGIONALPAYSDELOIREPOURBLOG.pdf
Dans toutes les maisons, vous allez et devez trouver :
- l'affichage des listes présentées;
- les tracts affichés sur les panneaux syndicaux;
A l'extérieur du périmètre des établissements, les documents peuvent être directement remis aux salariés. Des réunions peuvent être organisées librement. Les principales questions seront énonçées ici et nous vous ferons connaître les réponses du SNPEFP-CGT.
Les noms des candidats pour le CE et pour les DP seront également publiés, avec des coordonnées si vous souhaitez les contacter.
Nous avons publié il y a quelques jours notre document de synthèse sur les NAO, les négociations annuelles obligatoires sur le temps de travail et les salaires (cf. la note consacrée aux demandes du SNPEFP-CGT à la direction de l'AOCDTF).
Pourquoi ? :
Comment ? :
Le communiqué de la CGT :
Alors que se développent partout des conflits sociaux unitaires, pugnaces sur les revendications salariales à l’occasion des négociations annuelles obligatoires, le gouvernement et le président de la République mènent une offensive médiatique et multiplient les effets d’annonce autour d’une prime. Une nouvelle "usine à gaz" qui ne devrait au final concerner que très peu de salariés, mais qui ne répond surtout pas à latrès forte attente des salariés :
de voir augmenter tous les salaires ;
de corriger les inégalités femmes/hommes ;
de négocier des accords salariaux dans toutes les branches ;
de reconnaître et payer les qualifications.
La crise continue à servir de prétexte à une offensive du patronat et des gouvernements contre le coût du travail en France et dans les autres pays européens.
Or, cette crise s’explique avant tout par une rémunération du capital disproportionnée et une rémunération du travail toujours plus faible. Le résultat c’est la baisse du pouvoir d’achat des salariés et par conséquent cela devient leur première préoccupation. La CGT réaffirme qu’il n’y aura pas de solution à la crise par l’augmentation de la pauvreté et de la précarité. Pour éviter une récession, il faut une augmentation générale des salaires, traitements, pensions, allocations chômage mais aussi la création d’un revenu d’insertion pour la jeunesse durement touchée par les choix économiques actuels.
D’autres choix sont possibles, de nombreux salariés sont mobilisés depuis plusieurs mois pour des augmentations de salaires et ont gagné.
Le 1er mai, journée de solidarité internationale du monde du travail, prend un relief particulier dans un monde marqué par des évolutions majeures.
Les organisations CFDT - CGT – FSU – Solidaires – UNSA expriment leur soutien aux peuples des pays arabes qui se soulèvent pour la dignité et la liberté. Partout dans le monde, cette onde de choc salutaire bouscule les dictatures et porte un message d’espoir de liberté, de démocratie et de progrès social.
Elles font aussi du 1er mai une journée de solidarité européenne en dénonçant les politiques d’austérité imposées par les Etats membres de l’Union et les Institutions européennes pour « assainir » les dépenses publiques. Les salarié(e)s ne doivent pas payer le coût d’une crise dont ils ne sont pas responsables.
En France, le 1er mai 2011 se déroule dans un contexte de crise économique et sociale qui creuse les inégalités et mine la cohésion sociale, un contexte de tension sociale toujours forte liée aux préoccupations des salariés en matière d’emploi, de salaires et de conditions de travail qui se sont exprimées fortement dans les mobilisations de 2009 et 2010 face à la crise et à la réforme des retraites.
Partout participons aux manifestations unitaires pour :
• Donner la priorité à l’emploi par des politiques économiques et sociales prenant appui sur une réelle politique industrielle qui réponde aux impératifs écologiques et des services publics de qualité, favorisant la réduction des inégalités. Prioriser des mesures en faveur des jeunes. Mettre fin au non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite.
• Améliorer les salaires, les pensions et le pouvoir d’achat, permettre à chacun de vivre dans la dignité en garantissant le droit pour toutes et tous à une protection sociale solidaire et de haut niveau tout au long de la vie ; Faire reculer les inégalités entre les femmes et les hommes
• Améliorer les conditions de travail et faire reconnaître la pénibilité ;
• Lutter pour l’égalité des droits et contre toutes les discriminations, notamment concernant tous les travailleurs migrants.
L’exigence d’une vie meilleure faite de justice sociale, du respect des droits fondamentaux, d’un travail décent, reconnu et valorisé doit se faire entendre.
Mobilisons-nous pour le « vivre ensemble », la solidarité entre les salariés et l’égalité des droits, le choix de la paix, le choix du social. C’est de cette façon que reculeront l’exclusion, le racisme, le rejet de l’autre.
Nos organisations appellent tous les salariés, les chômeurs et les retraités à participer aux manifestations unitaires organisées dans toute la France.
Un premier blog a été animé par des salariés syndiqués du SNPEFP CGT travaillant pour l'AOCDTF. La direction de l'association nous ayant interdit d'utiliser dans le titre du blog et dans l'adresse mail ce nom, nous venons de créer ce blog. Il traite donc principalement de ce qui, depuis septembre 2010, s'est passé au sein de l'association. Salariés de l'association, c'est notre droit de parler de l'association, de nos conditions de travail, des salaires, des élections, EN TANT QUE SALARIES AOCDTF !
Ce vendredi au plus tard, les listes définitives présentées par des organisations syndicales devaient être déposées.
Le SNPEFP-CGT présente et soumet à votre vote :
- une liste nationale pour le Comité d'Entreprise, avec six candidats
- des listes régionales en, Aquitaine, Midi-Pyrénées, Pays de Loire, Alsace
Prochainement, nous vous présenterons ces candidats.
Selon des témoignages de salariés, il y a encore des maisons AOCDTF dans lesquelles il n'y a, soit, pas du tout de panneaux d'informations, juridiques et syndicales, soit un seul panneau qui mélange tout, soit des panneaux avec peu de documents. Cette situation est juridiquement condamnable (cf. la note concernant le passage de l'Inspection du Travail du 78 à la maison d'Epone). Désormais, puisque les listes doivent être affichées, cette situation ne peut plus durer.
Dans cette maison des Yvelines, l'Inspectrice du Travail qui s'y est rendue a constaté de nombreux manquements en matière d'affichage (pas de panneau syndical, pas de panneau d'information juridique, pas d'informations obligatoires sur les coordonnées de l'inspection du travail et du médecin du travail, pas d'informations sur les élections 2011. Les PV du CE sont souvent manquants. Le fait que l'établissement dispose ou non de délégués du personnel n'a pas pu non plus être indiqué à cette inspectrice du travail.
Pourtant, nous avons adressé aux responsables de la maison d'Epone un courrier par lequel nous avons rappelé, bien avant la visite de cette inspectrice, toutes les obligations de la maison en matière d'information des salariés. La DRH à Paris nous avait aussi assuré que le nécessaire avait été fait. L'Inspectrice du Travail a été obligée de constater qu'il n'en était rien.
Vous trouvez ci-après la présentation des demandes, remises ce jour à la direction de l'association.
Un document complet a été élaboré pour faire le point sur la situation salariale au sein de l'association (la très grande disparité des salaires entre les employés, les techniciens et les cadres), et, après l'énoncé de nos demandes, nos suggestions en matière d'économie comme avec le plan de formation 2011 prévoit un investissement de 100.000 euros pour la formation des prévôts en management dont nous demandons la suppression pure et simple, etc.
Ce document complet au format PDF est disponible pour toute personne salariée de l'association qui veut nous en faire la demande par mail, à l'adresse aocdtfsalaries arobase gmail.com.
La liste des demandes :
10% d'augmentation du taux horaire brut, pour les 175 employés et 15% parmi ceux-ci pour les plus de 55 ans, la même augmentation pour les techniciens de cuisine*
10% d'augmentation du taux horaire brut pour les techniciens-agents de cuisine
Une étude pour que le taux horaire des formateurs-professeurs soit adapté au cadre français général (comparaison avec les autres organismes de formation, avec l'Education Nationale) en revenant pour commencer à un niveau déjà mis en œuvre dans l'association
Le paiement de toute heure de travail effectuée, et à ce titre, le paiement de l'heure de réunion pédagogique, si le formateur peut être présent
La réalisation de cette réunion dans les jours de présence des formateurs au sein des CFA
Une participation de 0,2 euros par kilomètre pour les frais de déplacement de chaque salarié non-cadre, pour l'aller et le retour du domicile au lieu de travail
La création d'un suivi généralisé pour les apprentis en difficulté avec une rémunération à fixer dans la négociation
L'offre et l'usage des Chèques Déjeuner dans l'association, avec des modalités à définir par la négociation.
La décision discutée pour l'ouverture de négociation pour un nouvel accord d'entreprise. En effet, parmi les différents problèmes et objectifs, une grille d'ancienneté paraît absolument nécessaire. Et ce d'autant plus que l'association entend transmettre des valeurs, comme celle de la reconnaissance du travail bien fait, ce qui s’acquiert avec la pratique, base de l’apprentissage comme mode de transmission des savoirs !
Concernant l'embauche, nous rappelons que la Convention Collective ne prévoit pas qu'un ou une salariée embauchée se voit attribuer un coefficient en fonction de son statut, mais au contraire, de son niveau d'études et de son expérience professionnelle. Nous demandons que désormais ce principe soit pris en compte, et ce de manière rétroactive pour tous les salariés.
* Pourquoi une augmentation supérieure pour les plus de 55 ans ? Ces salariés sont à quelques mois ou quelques petites années de la retraite. Etant donné que leur salaire moyen annuel n'a pas connu de réelle augmentation ces dernières années, ils doivent opérer un rattrapage. Il reste peu de temps pour qu'ils gagnent plus et côtisent plus. Pour qu'une telle mesure soit adoptée, il faut de toute façon élaborer une grille des salaires et d'ancienneté qui actuellement n'existe pas. Une personne qui est embauchée doit pouvoir connaître à l'avance ses possibilités de progression salariale, même si des négociations futures peuvent et doivent la réactualiser.
Nous avons adressé ce soir un mail à l'ensemble des Prévôts dont vous trouvez ci-dessous la copie. Salariés de l'association, nous vous appelons à nous faire savoir, ici, par un commentaire sur cette note (en utilisant un pseudo) si ce que nous demandons aux responsables a bien été réalisé :
Etant donné qu'il existe des maisons où se trouvent les panneaux, le panneau syndical et le panneau d'information juridique, séparées des lieux d'enseignement, et qu'ainsi des collègues, formateurs, n'ont pas nécessairement l'occasion de passer dans les maisons et de constater la présence des informations concernant les élections professionnelles, ce qui les empêche de réflechir et de décider à une candidature de leur part pour ces élections, alors que la date de fin du dépôt des candidatures est pour cette fin de semaine, nous vous demandons, d'imprimer ce mail pour les formateurs dont vous êtes certain du passage dans la maison pour le placer dans leur casier, ou pour celles et ceux qui ne vont pas avoir l'occasion de passer, de l'imprimer et d'aller le leur remettre sur le lieu de formation, ou de les appeler pour les informer de cette situation.
Nous demandons à partir d'aujourd'hui, à l'ensemble des Prévôts, que, outre l'affichage des listes électorales, des dates ultimes pour la déclaration des listes des candidats, pour la période de réception du matériel de vote, pour les votes, les panneaux syndicaux soient bien disponibles dans toutes les maisons comme cela doit être le cas, et que les documents, tracts, que nous leur adressons soient bien affichés et disponibles en permanence.
Le SNPEFP-CGT va prendre contact autant que possible avec des salariés travaillant dans les maisons et CFA afin de leur demander de participer à la vérification sur la véracité et la sincérité des conditions de ces élections et des informations disponibles pour tous.
Si vous êtes un salarié d'une maison, d'un CFA, d'un siège, dans une région où vous voudriez nous demander ou nous interpeller sur tel ou tel problème lié à ces élections et au-delà, vous pouvez le faire à l'adresse mail
snpefpcgtcfa arobase gmail.com
Le protocole d'accord préélectoral a été élaboré hier.
Etant donné les effectifs de l'Association (858 salariés temps plein - 165 employés - 613 techniciens - 80 cadres), il y a trois collèges : le premier pour les ouvriers, employés, le second, pour les techniciens et agents de maîtrise, et le troisième pour les cadres, à l'exception du DRH et du Secrétaire Général; le nombre de sièges à pourvoir au CE est de :
1 siège titulaire et 1 siège suppléant pour le 1er collège
5 sièges titulaires et 5 sièges suppléants pour le 2ème collège
1 siège titulaire et 1 siège suppléant pour le 3ème collège
A partir d'aujourd'hui, la liste électorale nationale pour le CE et la liste électorale régionale pour les Délégués du Personnel doivent être affichées dans les maisons.
Les listes proposées aux votes et les professions de foi doivent être adressées à M. Gillet, DRH à Paris, avant le 29 avril. Le 5 mai, les courriers concernant ces élections seront postées, et les enveloppes contenant vos votes pour les DP et pour le CE devront être retournées avant le 18 mai. Le dépouillement aura lieu ce jour au siège social, pour ces deux élections, et sera effectué par M. Grellety, DS SNPEFP-CGT, par M. Denier, DS SNPEL-CFTC, et par Mme Pinto, représentante de la direction.
Si la moitié des votes du nombre total d'inscrits n'est pas atteinte (quorum), les bulletins de vote seront néanmoins dépouillés afin de mesurer la représentativité syndicale (au moins 10% des votes), un second tour sera organisé à partir du 19 mai. Les listes des candidats devront être communiquées à M. Gillet avant le 25 mai. Les courriers concernant ce second tour seront postés le 1er juin, et vos courriers contenant les bulletins de vote devront être reçus avant le 14 juin, jour du dépouillement.
Une boite postale va être crée afin de réceptionner l'ensemble de vos courriers de vote, qui seront donc stockés jusqu'au jour du dépouillement, avant d'être récupérés par les personnes chargées du dépouillement.
Dans la foulée de l'élaboration et de la signature du protocole d'accord préelectoral dont la réunion avait lieu hier matin, une réunion du Comité d'Entreprise, annoncée seulement en fin de semaine dernière, s'est tenue en début d'après-midi. Nous avions adressé au secrétaire du CE, M. Duboy, une demande pour que les débats du CE soient pris en note par une personne qualifiée (secrétaire dactylo), afin que le compte-rendu du CE publié après soit le plus fidèle à la réalité des propos et des débats. Le PV interne du CE du mois précédent est en effet emblématiquement incomplet, puisque le Délégué Syndical du SNPEFP-CGT avait, au moment des questions diverses, demandé aux représentants de la direction l'ouverture de négociation pour un nouvel accord d'entreprise, ce qu'ils ont refusé. Cette demande d'ouverture de négociation sera répétée dans les prochaines semaines. Depuis que notre Délégué participe aux réunions du CE, il a pu constater que ces réunions sont, dans leur projection comme dans leur réalisation, expédiées - en effet, la convocation prévoit une durée brève, une heure, insuffisante la plupart du temps pour parler des réalités et des problèmes qui existent au sein de l'association. Du coup, la réunion du mois de mars a duré plus longtemps en raison des questions diverses posées par les deux délégués syndicaux. Au cours de cette réunion d'avril, notre délégué a demandé qu'une rectification soit inscrite au prochain PV. En outre, il a interpellé les membres du CE sur la situation d'un salarié, formateur, en arrêt de travail depuis plusieurs mois et qui ne perçoit ni salaire ni Indemnités Journalières. Une aide (don) a été demandée sur le budget social du CE. Pendant ce temps, la situation d'une salariée, déclarée inapte par le médecin du travail, a été expliquée.
Le Comité d'Entreprise, nous le rappelons et le répéterons, est une sorte d'assemblée nationale interne à l'entreprise où les Délégués du Personnel, les Délégués Syndicaux et les représentants de la Direction doivent traiter l'ensemble des problèmes importants de l'activité et des réalités économiques et humaines de l'association. Il faut donc que tout le temps nécessaire soit consacré, et que la réunion ne soit donc pas expédiée. Des moyens adéquats à l'enregistrement des échanges doivent également être utilisés.
C'est aussi de cela dont, salariés de l'association, vous allez devoir décider par votre vote (ou non) aux élections professionnelles qui vont se tenir en mai.