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SNPEFP CGT - Page 4

  • Après avoir torpillé les financements de la formation, le MEDEF va diffuser une campagne de communication pour s'auto-féliciter

    Le cynisme-MEDEF, c'est un "must". Ce "syndicat patronal" a pesé, là aussi, comme pour tous les "accords" (ANI), les principales législations sur le travail, sur la loi concernant la formation professionnelle et l'apprentissage.

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  • Burn-Out : combien de cas dans l'AOCDTF ?


    Comment identifier et traiter un burn-out ? par lemondefr

  • Comment fonctionne la section CGT ? Que fait-elle ? Les raisons d'adhérer

    Dans un contexte interne très difficile, des salariés nous sollicitent, et, pour certains, rejoignent régulièrement la section. Nous voulons ici les féliciter de cette décision, de cette détermination (il en faut). Certains salariés pensent à adhérer, mais voudraient en savoir plus. Nous pouvons dire certaines choses, et d'autres non, elles sont réservées aux adhérents.

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  • 1er Mai 2015 : pour que les travailleurs se retrouvent ensemble et parlent des solutions

    Le 1er Mai, ce n'est pas un jour de Fête pour laisser entendre une voix martiale, qui veut voir des divisions partout et créer des conflits entre tous. Il y a bien une division fondamentale dans notre monde : entre les travailleurs, les retraités, les étudiants, qui ont tous des revenus modestes et ceux qui, sans travailler, ont des revenus/rentes immenses, ceux qui ont des revenus très élevés. Et ces derniers vivent dans le mépris des premiers. Le monde du travail doit faire face à ses défis, historiques et nouveaux. Partout, le dialogue, l'imagination et la raison doivent être au pouvoir.

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  • Un article de Sud-Ouest sur l'affaire AOCDTF/Racisme et homophobie, et des précisions

    Le quotidien "Sud-Ouest" a fait paraître un article, intitulé, dans sa version papier "Crise chez les Compagnons", "Un enseignant du CFA accuse la direction de couvrir du racisme".  La CGT tient à apporter des précisions.

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  • L'Inspection du Travail de Bordeaux refuse la demande d'autorisation de licenciement de l'AOCDTF contre le délégué syndical CGT

    Par courrier recommandé, l'Inspection du Travail sollicitée a fait connaître sa décision : elle refuse la demande de la direction de l'AOCDTF. Et son analyse de cette demande est sévère. Dans quelques jours, le SNCA-CGT donnera des précisions sur cette réponse et ses conséquences.

  • Le CE de l'AOCDTF va t-il continuer à diffuser des PV partiels et partiaux ?

    Salariés de l'AOCDTF, nous vous le disons : attention ! Vous pouvez trouver des PV du CE dans les maisons de l'AOCDTF, mais ceux-ci continuent, comme avant les élections de 2014, de ne pas être sérieux et loyaux. Ils ne contiennent pas toutes les mentions qu'ils devraient contenir.

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  • Nos meilleurs voeux aux salariés de l'AOCDTF - nos volontés pour 2015

     

     

    C'est toujours le même problème avec les voeux : ils sont généraux et généreux, puisqu'ils ne coûtent rien. La CGT n'est pas une organisation avec des velléités : nous sommes une organisation fondée sur des volontés. La situation des salariés dans l'association AOCDTF est, à l'exception de l'encadrement, mauvaise ou très mauvaise. Nous en parlons depuis des mois, nous en parlerons cette semaine avec de nouvelles publications. Les causes en sont connues : une attitude de la direction parisienne qui refuse un réel dialogue avec notre organisation syndicale, qui refuse de respecter des principes salariaux ambitieux (sauf pour l'encadrement). La récente évolution de "l'accord d'entreprise" en est un symbole, avec la réaffirmation du CDII comme d'une "prime de fidélité" dont le principe de calcul est scandaleux. Mais comment s'étonner de cela quand, dans le même temps, sur la page Facebook officielle de l'association, les salariés ont eu droit à des voeux pour les fêtes avec une photographie (cf ci-dessous) tirée du film "Gatsby le Magnifique", lequel narre la vie d'un milliardaire ? Nous sommes curieux de connaître l'explication quant au rapport entre ce type d'individus et le Compagnonnage. Nous voulons bien supposer qu'il s'agit d'un choix maladroit - puisque, sinon, il s'agirait ou d'une provocation ou d'une déviance d'un Compagnonnage pour le culte envers la plus extrême richesse, totalement contraire à l'Histoire du Compagnonnage. De nombreuses notes vont être publiées d'ici la fin de la semaine et dans ce mois, concernant l'actualité, les sujets, les problèmes des salariés dans l'association, notamment concernant des procédures de licenciement qui frappent deux salariées de l'association, alors qu'elles sont en arrêt maladie. Il s'agit en effet d'un droit des employeurs (méconnu, et qui prouve que le droit du travail est très favorable aux employeurs, contrairement aux mensonges colportés sur ce sujet par le MEDEF). Mais même s'il s'agit d'un droit, doivent-ils l'utiliser quand ils peuvent faire autrement ? Nous allons le dire dans une note spécialement consacrée à ce sujet : nous demandons que ces procédures soient annulées, puisque l'association peut faire autrement (dans la mesure où elle n'a rien à reprocher à ces salariées, mais qu'elle met en avant "la désorganisation du service", ce qui  peut être corrigé par une autre organisation ponctuelle ou une embauche en CDD).

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  • De la discrimination et de la répression syndicales dans la France de nos jours

    "Ce rapport est l'oeuvre de cet Observatoire. La France des "Droits", de "l'Homme", de "l'engagement syndical" est un pays dans lequel le "Droit" est censé établir des fondamentaux universaux, largement virtuels, faute d'encadrements contraignants, de moyens, faute de différencier les droits et les pouvoirs en fonction des moyens des personnes et des groupes, au nom d'une "égalité" qui devient alors l'arme des inégalités. Le droit syndical est en France, constitutionnalisé - mais depuis quand ? La protection de l'environnement l'est aussi devenu, et nous savons comment les choses se passent en France. Nous sommes dans le pays des "grands mots", de l'emphase et de la pompe. Mais la réalité, elle, (...)". 

    A lire sur le blog du SNCA-CGT

  • Pour un vice de procédure, le CHSCT AOCDTF établi sans réunion du collège désignatif est maintenu faute de décision de la Justice

     

     

     

     

     

    Notre organisation syndicale a saisi le Tribunal d'Instance du 75004 Paris, afin de faire constater que la procédure légale pour la mise en place du CHSCT AOCDTF, à savoir notamment pour la réunion du collège désignatif (composé des élus CE et des élus DP), n'avait pas été respectée, puisque la dite réunion n'a pas eu lieu. La direction a répondu, soutenu là encore par le SPEP-CFDT, par la CGC, mais aussi par la CFTC, que notre procédure n'était pas juridiquement acceptable, parce que nous étions représentés par une défenseur syndical, et parce que, malgré une saisine dans les 15 jours après l'élection, un PV du bureau du SNCA-CGT avait été effectué, postérieurement à cette période. La Juge du TI a repris entièrement à son compte cette argumentation, et, du coup, a totalement ignoré les éléments que nous avons présenté. De son côté, intérrogée, l'Inspection du Travail nous a répondu que le fait de ne pas réunir le collège désignatif est une violation de la loi, et que, dans ce cas, le CHSCT est fondé sur une illégalité, illégalité "validée" par le TI. Mais même si le TI a donné raison à la direction quant à son argumentation, la direction pourrait constater que le CHSCT mis en place ne l'a pas été légalement, et faire ce qu'elle doit. Si elle ne le fait pas, c'est donc qu'elle estime que lorsqu'une décision de justice valide son argumentation, réduite à la procédure, elle n'a que faire de l'absence du respect de la légalité.

  • L'AOCDTF actuelle ? : la misère pour les uns, bombance pour les autres - le degré zéro du Compagnonnage

     

     

     

     

    L'association, la direction de l'association, prétendent représenter le "Compagnonnage". Mais dès qu'il s'agit de Droit du Travail et de rémunérations des salariés, les valeurs, l'Histoire, les combats des Compagnons des siècles passés vont aux oubliettes. Nous ne pouvons laisser faire et permettre ce grand écart entre les "valeurs" et les faits. C'est pourquoi la CGT va engager de nombreuses initiatives en 2015 pour faire cesser cette situation scandaleuse.

  • "Un accord d'entreprise" ? La prime de fidélité revue va permettre à deux cadres dirigeants au moins une augmentation de 1% supplémentaire de leur salaire annuel brut

     

     

     

    Notre organisation a fait une proposition novatrice pour que la prime de fidélité de fin d'année devienne enfin équitable. La proposition a été balayée d'un revers de main par la direction. Elle a validé, avec le soutien du représentant du SPEP-CFDT, M. Duboy, et de la CGC, M. Denier, le système actuel, avec une cerise sur le gâteau : une augmentation de 1% pour la dernière tranche, les plus de 16 ans. Or, selon nos informations, deux des cadres dirigeants qui ont suivi, voulu et validé cet accord, seront concernés par l'application de cette nouvelle mouture. Etant donné qu'ils perçoivent parmi les plus hauts salaires, cette "petite augmentation" de "1%" va être pour eux conséquente.

  • Un "accord d'entreprise" ? Des régressions, validées par le SPEP-CFDT et par la CGC

     

     

     

     

    Etant donné que notre organisation syndicale est, en permanence, sous-informée, ou pas informée du tout, par la direction de l'AOCDTF, sur tel ou tel aspect du fonctionnement de l'association, des décisions de la direction, nous ne pouvons encore le dire avec certitude, mais, selon ce que nous savons, et ce que nous savons de manière indirecte, les diktats de la direction, proposées/imposées lors de la réunion de septembre 2014, et validées par le SPEP-CFDT, par la CGC, vont provoquer des régressions importantes, l'aggravation des injustices. Le Compagnonnage, ses valeurs, sont totalement bafoués par ces textes supplémentaires. La direction de l'AOCDTF fonctionne dans le mépris à l'égard des salariés et des vraies organisations syndicales.

    - dans ce texte, la direction prétend confirmer la légitimité de l'usage du CDII. Mais même si elle a obtenu la signature du représentant du SPEP-CFDT, M. Pascal Duboy, et de la CGC, M. Stéphane Denier (et de quel droit sur ce sujet ? puisque les cadres ne sont pas concernés par le CDII), le CDII n'est pas un contrat légal pour l'association, ni un contrat légal dans l'usage qu'elle en fait pour ses conséquences. La CGT va mettre tous les moyens pour que, dès que possible, cet usage soit abandonné.

    - dans ce texte, et contrairement à une mauvaise interprétation de notre part, la direction a obtenu la suppression de... la suppression des jours légaux de carence, en cas d'arrêt-maladie. Désormais, cette suppression sera limitée à... une fois par an. Ce système, des jours de carence, est profondément injuste, puisque la moyenne des arrêts maladie est d'une semaine. Et pour les enseignants/formateurs qui sont à temps partiel, cette suppression va conduire à ce que, lorsqu'ils seront malades, les quelques heures qu'ils auraient effectué s'ils n'avaient pas été malades ne leur seront plus payées. Les salaires de ces enseignants/formateurs, qui sont déjà les plus bas, si tant est qu'ils soient payés aux minima conventionnels, subiront encore des baisses. Pour le SPEP-CFDT et pour la CGC, aucun problème !

    - quant à la prime de fidélité, nous en parlerons par une note spécifique.

  • Nous, nous subissons la Convention Collective Nationale des Organismes de Formation - salariés des CFA, ne la subissez pas comme nous !

  • Accord entreprise : l'AOCDTF et la DRH ont inventé la négociation sans négociation

     

     

     

    Mercredi 10 septembre, une réunion concernant la négociation sur l'accord d'entreprise était convoquée au siège social de l'Association, à Paris. Les organisations syndicales convoquées étaient, la CGT, la CFTC, la CFDT, la CGC. La CFTC était représentée par M. Denier, de Rennes, la CFDT, par M. Duboy, secrétaire du CE par ailleurs, et la CGC, par M. Denier (à ne pas confondre avec le 1er, cadre du siège). Comment s'est déroulée la réunion ? D'emblée, la couleur a été annoncée : la direction, représentée par le DRH, M. Patrick Gillet, a indiqué qu'en fonction de ce qui se passerait dans cette journée, les autres journées prévues pour la négociation entre les mois d'octobre et de décembre seraient annulées, et en effet, elles le sont. La négociation avec la direction des Compagnons du Devoir, c'est, comme vous allez le voir, pas de négociation, et un commencement et une fin express. 

    Ensuite, AU LIEU QUE TOUTES LES PARTIES PROPOSENT DES THEMES ET DES ARGUMENTS, la direction, de type MEDEF, a imposé 8 propositions, concernant la prime de fidélité, la suppression des jours de carence, le temps de trajet pour un déplacement à l'initiative de l'employeur,  les congés payés/RTT, la Journée de solidarité, les congés pour évènements familiaux, le CDII, les  "médailles du travail"

    TOUS LES SUJETS IMPORTANTS QUI FONT PARTIE DE CE QUE SONT LES ACCORDS D ENTREPRISE EN FRANCE ONT ETE IGNORES, ECARTES ! 

    M. Gillet a présenté chacun des textes, rédigés par la direction, pour connaître les avis des uns et des autres. Nous le devons à la vérité : les représentants des autres organisations syndicales ont passé leur temps à, une fois la lecture faite, dire "moi, ca me va" ! En somme : TOUT, leur va, et TOUT CE QUI MANQUE NE LEUR MANQUE PAS ! 

    Evidemment, l'habileté consiste à octroyer des miettes aux salariés pour faire passer l'ensemble. Sur la prime de fidélité, il faut le constater et le dire : la direction, représentée par un DRH, cadre, soutient le système actuel qui consiste à chaque fin d'année à payer une prime plus importante aux cadres. Ceux et celles qui pendant l'année ont touché plus recoivent plus ! Quel est le rapport avec le Compagnonnage dans un tel système ? Aucun. La direction pense avoir tous les droits, et notamment celui de se moquer totalement de ce que représente une négociation. La CGT va donc continuer à agir, comme elle le peut et elle le doit, pour changer cette situation. Si M. Gillet peut ainsi agir et parler, c'est parce qu'il a le soutien de M. Nauleau et de M. Bellanger. Nous interpellons les Compagnons sur cette situation qu'ils doivent cesser de cautionner, ou de permettre, par leur silence. Nous invitons les salariés à exprimer à leur direction locale, à la direction régionale, leur mécontentement.